Stefan Zywotko : «Ce que fait Hannachi pour le club est énorme»

Stefan Zywotko, l’entraîneur emblématique de la JSK, que nous avons joint par téléphone, a accepté de répondre à nos questions relatives à son ancien club avec lequel il a gagné beaucoup de titres, la JS Kabylie. Bien qu’il soit malade, Zywotko n’a pas manqué l’occasion de prendre des nouvelles de la JSK, de Khalef et notamment du président Hannachi. 
Bonsoir, quelles sont vos nouvelles ?
Je vais bien, merci. Je suis un peu malade ces derniers temps mais je tiens quand même le coup.
On vous appelle par rapport à Djamel Menad, un joueur que vous connaissez bien, qui est désormais l’entraîneur du Mouloudia d’Alger. Il est ici avec son équipe en Pologne…
Ah, oui ! Je me souviens de lui, c’était un grand joueur qui savait marquer des buts. J’aurais aimé le rencontrer mais mon état de santé ne me le permet pas. 
Suivez-vous l’actualité de la JSK ?
Non, pas trop, mais j’ai appris qu’ils ont connu des moments difficiles notamment la saison passée. Mais avec l’arrivée du nouvel entraîneur, ils ont quand même réussi à redresser la barre et terminer l’exercice à la troisième place qualificative à une compétition africaine. La JSK est née pour gagner des titres, pour jouer sur le plan continental. Les grands clubs ne meurent jamais. 
Êtes-vous au courant que le président Hannachi est toujours à la tête du club ?
Apparemment, il est toujours le boss et j’ai appris qu’il a réussi dernièrement à ramener des investisseurs. C’est une bonne chose pour le club. Il va prendre une grande dimension. Si vous permettez, je voudrais prendre des nouvelles de monsieur Khalef, c’est un brave homme. 
Oui, Khalef est toujours en Algérie, il est à la retraite. Il a déjà occupé le poste de consultant avant de prendre du recul. On vous laisse le soin de conclure ?
J’aurais aimé vous inviter chez moi pour discuter de beaucoup de choses, notamment de la JS, mais malheureusement je suis un peu malade. Ce fut un plaisir d’avoir des nouvelles de mon ancienne équipe, je suis très heureux. 

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