Auteur :
L.A.
mardi 05 décembre 2017 22:32
L’ancien international de la JSK Moussa Saïb, consultant de la chaîne sportive Berbère tv, s’est aussi exprimé sur la dernière défaite concédée par la JSK à domicile face au leader le CSC. Il a expliqué que la JSK avait la possibilité de gagner le match si elle a maintenu son rythme de départ. Il regrette la baisse de régime des joueurs en seconde mi-temps, laissant l’adversaire imposer sa loi et repartir avec la victoire. En revanche, l’ancien Auxerrois a apporté sa vision sur l’absence d’Aït Djoudi aux entraînements du début de semaine : «L’absence d’Aït Djoudi à la reprise des exercices est pour moi un mauvais exemple. Le technicien en chef est le premier responsable technique, il doit être le premier à se présenter au stade. Dans ces moments, le driver doit être toujours présent aux côtés des joueurs. Après une défaite, le groupe a besoin de faire son autocritique, je ne vois pas faire tout ça sans le coach en chef.»
«Il devrait se décharger d’une mission pour s’investir pleinement»
Et d’ajouter : «Aït Djoudi occupe actuellement deux casquettes, directeur technique et coach en chef. A mon avis, il devrait se décharger d’une mission afin de pouvoir s’investir pleinement dans une seule mission. Personnellement, j’ai ma modeste expérience en Europe, à Auxerre par exemple, Guy Roux a été toujours le premier à venir au stade et le dernier à le quitter après chaque entraînement. Il voit tout et rien ne lui échappe. En Angleterre c’est la même chose, le manager a son staff, un préparateur physique et des adjoint mais il reste qu’il est le coach en chef, il est là pour diriger. Sans driver en chef dans une équipe, c’est toujours l’anarchie.»
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Aït Djoudi
Moussa Saïb.