Auteur :
Abdou H.
vendredi 11 juillet 2014 18:50
L’ex-élément de l’ESS et nouvelle recrue du CSC, Zoubiri, a eu une interview avec nos confrères d’El Haddef TV. Au cours de cette rencontre médiatique, le joueur âgé de 30 ans a fait certaines confidences croustillantes qui intéresseraient sûrement le large public du Chabab. Le premier point abordé a été la façon avec laquelle le joueur a atterri au CSC cet été. «À la fin de l’année footballistique que j’ai passée avec le FC Cannes, l’entraîneur Diego Garzitto m’a téléphoné et m’a dit texto qu’il allait revenir au CSC et qu’il souhaitait me voir à Constantine avec lui. J’ai accepté l’idée, et Bentoubal n’a fait que me convaincre encore plus et le tour a été joué.» Zoubiri est le genre de joueur direct, qui dit ce qu’il pense, donc il ne faut pas s’attendre à des mots banals de sa part. Il s’est par ailleurs bien adapté avec ses nouveaux coéquipiers, comme il le confirme : «L’ambiance au sein du CSC est grandiose. On vit bien ensemble, et je m’y sens aussi à l’aise qu’avec mon ancienne équipe. Avec la présence de Bouhenna et de Lucas, cela m’aide encore dans mon intégration.» Concernant son compartiment de prédilection, Zoubiri trouve son bonheur aux avant-postes. «Je suis un attaquant, mais je reste à la disposition du coach qui a sa propre vision du jeu. Je peux jouer derrière les attaquants facilement, tout dépend de l’avis de Garzitto ; ce qui est sûr, c’est que je ne crains pas la concurrence. Au CSC, il y a pas mal de bons attaquants, et cela ne fera que du bien au club au final.» Pour ce qui est des attentes du public, Zoubiri est prêt à relever le défi : «Je serai à la hauteur des attentes des Sanafir. Je défendrai d’une forte manière les couleurs du CSC et je ferai tout pour marquer le plus grand nombre de buts possible pour procurer la joie aux supporters, car sincèrement, si j’ai accepté rapidement de m’engager avec le CSC, c’est pour le fabuleux public clubiste, qui mérite tout le bonheur du monde.» Enfin, concernant le Ramadhan et comment Zoubiri était en train de le passer, la réponse du joueur a été la suivante : «Le Ramadhan n’influe pas trop sur moi. J’adore ce mois, sauf que ma famille me manque beaucoup ; mais on travaille bien et on se sacrifie pour faire bonne figure la saison prochaine, c’est notre travail et on est obligés de le faire parfaitement. Je profite de l’occasion pour souhaiter un bon Ramadhan aux Sanafir et aux lecteurs d’El Haddef et du Buteur.»