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mercredi 25 mars 2015 12:57
"Au début du match, je me disais que c'était un démarrage un peu raté. Après 3-0, je commençais à sentir une vraie douleur au ventre. Je me disais qu'on était dans un mauvais film... Quand le château s'effondre de cette façon, c'est que les fondations sont vraiment trop fragiles. En même temps, juste après, je me suis dit que cette défaite était peut-être survenue pour réveiller tout le monde. Seulement, un an après, rien n'a changé", regrette l’ancien directeur sportif du PSG.
Et à l’ancien coach de l’Inter Milan de commenter la (nouvelle) nomination de Dunga à la tête de la sélection. "Au-delà de Dunga, citez-moi un entraîneur brésilien, aujourd'hui, qui exerce en Europe ? Il n'y en a pas. Vous avez des Argentins, Simeone à l'Atlético Madrid, Pochettino à Tottenham, Bielsa à Marseille ; un Chilien, Pellegrini à Manchester City ; un Uruguayen comme Poyet qui a dirigé Sunderland... Tous les Sud-Américains sont là, sauf les Brésiliens. On a un problème de formation des entraîneurs", conclut-il.
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Brésil
Leonardo