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jeudi 01 mai 2014 13:16
Comme tout le monde,Pierre Ménes a compté six défenseurs de métier (David Luiz, Azpilicueta, Cole, Ivanovic, Cahill, Terry) sur les 10 joueurs de champ au coup d’envoi, et se réjouit de voir que c’est l’Atlético qui a marqué trois fois au final comme le rapporte foot01 :
"On ne peut bafouer le football de cette façon depuis des années sans être un jour puni. Après le match aller indigne au Vicente Calderon et la victoire invraisemblable à Liverpool, il y avait cette forme de snobisme, une façon de se gargariser de ce non-jeu, de ce béton absolu prôné par Mourinho. C'est à se demander si le Portugais lui-même ne s'est pas pris au jeu : en faisant l'équipe la moins attrayante possible, il devient la star principale du truc. Sauf qu'hier soir, le foot l'a puni. Déjà, la composition de départ donnait envie de pleurer, avec Azpilicueta milieu droit devant Ivanovic et en laissant Ba, Eto'o et Schürrle sur le banc ! Pour les deux équipes, la donne était pourtant la même : marquer pour se qualifier. Chelsea n'a même pas essayé. La résultante numéro 1, c'est que les Madrilènes n'ont eu qu'à s'occuper d'Eden Hazard pour réduire à néant le poids offensif des Blues. Alors je suis peut-être un anti-Mourinho, je suis peut-être un romantique, je suis peut-être tout ce qu'on veut, mais hier soir pour moi, c'est le football qui a gagné", a confié Pierre Ménès, qui a vu la réussite tactique de José Mourinho prendre fin ce mercredi à Stamford Bridge.
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