USMBA : Cependant, on ne sera plus sous pression puisqu’on joue chez nous.

Il semble bien qu’au sein de l’USMBA l’indiscipline est de mise,  et ce n’est pas l’absence de quelques joueurs à la reprise des entraînements de samedi qui va nous désavouer. Alors que l’entraîneur Wallemme s’attendait à avoir sous la main l’ensemble du groupe samedi, hormis les convalescents, les entrainements de ladite journée ont été encore marqués par des absences intrigantes de plusieurs éléments.  Le laxisme de la direction a fait que certains éléments agissent à leur guise et ce, en l’absence d’un règlement intérieur qui instaure les droits et devoirs de chacun.  
Wallemme impuissant
Ces absences n’ont pas été sans provoquer l’exacerbation de l’entraîneur Wallemme. Le Français a, dès sa prise de fonctions, averti le groupe en mettant l’accent sur le sérieux et la discipline. Ainsi, suite à cette situation, on s’attend à ce que l’entraineur sévisse contre les éléments dont l’absence ne sera pas justifiée ou autorisée. Face à l’ire affichée par l’entraineur de l’USMBA en particulier, les responsables du club  n’ont pas manqué  d’arborer leur désappointement devant l’attitude des joueurs. On croit savoir qu’ils  ont décidé que tous les éléments absents soient rappelés définitivement à l’ordre et qu’une sanction est plus qu’envisageable pour mettre tout le monde devant ses responsabilités.
  La rencontre face au MCEE sous de mauvais auspices
Bien que consciente des dernières prouesses, l’administration de l’USMBA se trouve, hélas, dans l’incapacité de rendre la pareille à ses joueurs en matière d’argent. Ces absences seraient un message codé pour le premier responsable de l’USMBA.     Bien qu’ils soient rassurés par le président Yahia Amroune, les joueurs n’arrivent toujours pas à cacher leur inquiétude d’autant plus qu’on leur demande à chaque fois de patienter en attendant l’arrivée des subventions étatiques et autres aides.  Wallemme a crié à qui veut l’entendre que l’équipe risque de connaitre une baisse de régime à cause du problème financier.   Le Français n’est pas prêt à vivre une situation de crise.