Auteur :
B. G.
jeudi 29 septembre 2016 20:41
«J’ai dit à mes joueurs que le match face à Sétif est important mais pas décisif»
Le président du MCA, Omar Ghrib, nous parle de l’actualité du club avec sa franchise qui est devenue sa marque de fabrique. «J’ai discuté avec mes joueurs en leur disant que ce match face à l’ESS est important mais pas décisif. Et qu’il faut aborder cette rencontre en étant libéré sans la crainte de mal faire.»
«Je leur ai octroyé la prime du MCO car ils méritent des encouragements»
«J’ai octroyé à l’issue de cette séance d’entraînement la prime du match gagné face au MCO car mes joueurs méritent tous les encouragements. Ce n’était pas facile de battre le MCO à huis clos. Mes joueurs ont fait montre de caractère pour s’imposer. Et logiquement, ils doivent être récompensés pour les efforts consentis.»
«Aucun joueur n’a des dettes avec le club»
«Au niveau de l’argent, on s’en sort bien. D’ailleurs, malgré cette période de vaches maigres, aucun joueur n’a des dettes avec le club. Tout le monde a touché son argent jusqu’au dernier centime.»
«Après cinq matchs, nous sommes en train de suivre la parcours d’un champion»
«Je suis très satisfait du parcours de mon équipe. On a récolté dix points en cinq matches avec trois rencontres en déplacement. C’est simple, nous sommes en train de suivre le parcours d’un champion. Il y a cette défaite face au NAHD que je considère comme un accident de parcours.»
«Betrouni se trompe, c’est lui le fautif et non l’avocat du club»
«L’ancien président, Betrouni, se trompe totalement. Il est le principal responsable dans l’affaire Ngoula et non l’avocat du club qui, lui, a essayé de rectifier le tir. Mais c’était cause perdue dans la mesure où Betrouni a remis à Ngoula une notification lui signifiant qu’il ne faisait plus partie du club.»
«Il doit arrêter de faire du vacarme sinon je dévoilerai ses frasques»
«Je dis à Betrouni qu’il arrête de faire du vacarme en pointant du doigt l’avocat du club alors que c’est lui par sa gestion qui a plongé le club dans ce marasme. Qu’il arrête sinon je dévoilerai ses frasques», a conclu l’homme fort du vieux club algérois qui a décidé de tacler violemment et sans retenu son prédécesseur.
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