CSC : Courbis en pole position

Les CV affluent sur le bureau du directoire du CSC et ce depuis le départ de Didier Gomes. Après l’échec des négociations avec Lemerre qui a refusé d’entraîner le CSC, d’autres pistes étrangères sont d’actualité. Il s’agit de Roland Courbis qui est en pole position pour coacher le club, mais il y a aussi cette nouvelle piste de l’ex-joueur de l’Olympique de Marseille, Kocelli, qui est proposé à la direction. Il constitue le deuxième choix après Courbis qui est pressenti au poste de nouvel entraîneur du CSC.
Le Tuniso-Belge Nasser-Eddine Nabi dans le calepin des dirigeants
Une autre piste d’un coach étranger est d’actualité chez les dirigeants du CSC. Il s’agit du Tuniso-Belge Nasser-Eddine Nabi qui a drivé plusieurs équipes africaines, comme El Hillal du Soudan avec qui a il atteint le carré d’as en ligue des Champions d’Afrique et il a aussi gagné la Coupe de la CAF avec les Léopards. Pour dire que ce technicien âgé de 48 ans et qui maîtrise les langues arabe et française ne sera que bénéfique pour le club du moment qu’il peut facilement s’intégrer dans son nouvel environnement par rapport à un technicien français.
On préfère attendre 
le retour de Soussou pour trancher
Les responsables du directoire préfèrent attendre le retour de Soussou qui rentrera de Chine demain, pour trancher la question du futur entraîneur du club. En principe tout va se régler après le retour de Boulahbib qui connaît bien les rouages du football et saura certainement trouver un successeur à Gomes.
Certaines parties veulent imposer un coach local
Il y a certains dirigeants qui sont favorables à l’engagement d’un entraîneur local, et les noms ne manquent pas, comme Ighil Meziane, Abdelhak Benchikha, Adel Amrouche, Azzedine Aït Djoudi, Zekri, Madoui. Pour eux, un entraîneur local est mieux placé, sachant qu’il connaît assez bien la mentalité du joueur algérien et n’aura pas de difficultés pour transmettre son message et appliquer surtout son dispositif tactique en un laps de temps que les joueurs vont assimiler rapidement contrairement à un coach étranger, qui devra tâter le terrain, avant de connaître au mieux son groupe. Ce qui va prendre du temps, et cela n’est pas fait pour arranger les affaires du CSC.
Ils ne veulent pas revivre les scénarios de Simondi et Gomes
Les dirigeants du CSC sont sceptiques et ne veulent pas anticiper, pour ne pas retomber dans les mêmes erreurs du passé. Ils estiment que les scénarios Simondi et Gomes sont illustratifs de l’échec de la piste étrangère à la tête de la barre technique du club. Même si il y a certains qui veulent imposer Courbis ou Kocelli, l’ex-joueur de l’Olympique de Marseille. Et il y a aussi la piste du Tuniso-Belge, Nabi, qui est pressenti pour prendre les rênes de la barre technique, surtout qu’il parle aussi bien le français que l’arabe. La piste locale est toujours d’actualité, et les Benchikha, Amrouche, Ighil, Madoui, Aït Djoudi et Zekri sont parmi les techniciens ciblées par le directoire du club.

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