MCA: Le Doyen termine à la 6e place avec un budget qui dépasse les 180 milliards

Malgré ce succès obtenu face à l’ASAM, le Mouloudia n’a pu faire mieux qu’une sixième place au classement avec 43 points. C’est une unité et une place de moins que la saison dernière où le club avait terminé à la 5e position avec 44 unités. Mais ce qui déçoit le plus, c’est le fait de ne pas terminer le championnat sur le podium synonyme de qualification à une joute africaine. Et lorsqu’on sait que le Doyen a dépensé plus de 180 milliards de centimes, il y a de quoi laisser perplexe plus d’un. La JSK et le Paradou ont réalisé une saison exceptionnelle avec une enveloppe dérisoire. Comme quoi, dans la vie, l’argent ne fait pas souvent le bonheur. Ce proverbe sied parfaitement au Mouloudia qui sort bredouille pour la troisième année de suite. Une honte pour un club du standing du Mouloudia qui doit truster les titres.

Pour la 2e année de suite, le club ne décroche pas de place africaine
L’autre débat qui fait polémique, c’est le fait d’avoir englouti des milliards de centimes sans parvenir à décrocher une place sur le podium. C’est pour la deuxième année de suite que le Doyen ne parvient pas à s’ouvrir une fenêtre sur le continent traduisant l’échec et le manque de compétence de l’ancienne administration. Un ramassis d’incompétents qui ont tout simplement mené le Mouloudia à sa perte et il n’y a qu’à jeter un coup d’œil sur les performances du club pour se rendre compte de cette supercherie à coût de milliards qui n’a que trop duré.  

Fin de la récréation et du cauchemar, la Sonatrach exige le titre pour la saison prochaine !  
A deux ans du centenaire du club, la direction de la Sonatrach veut mettre les moyens pour permettre au Doyen de gagner le titre qui fuit le club depuis 2010. C’est la fin de la récréation pour une équipe qui doit retrouver son standing d’antan. Aussi, la direction de la Sonatrach exige le titre la saison prochaine. La firme pétrolière veut répondre aux revendications des Chnaoua qui réclament des trophées et une équipe qui pratique un beau football. Et pour cela, il faut rompre avec les anciennes pratiques où le népotisme et le clientélisme étaient légion dans un club dirigé avec un certain amateurisme. Omar Ghrib a promis de remettre le Mouloudia à sa place initiale avec une révolution qui marquera un changement radical à tous les niveaux.