JSK – PAC officiellement à huis clos

Après le nul concédé à domicile lors de la première journée, la JSK n’avait pas le droit de rater sa deuxième sortie en championnat. En déplacement à la ville des Roses, les Canaris, au complet, se sont ressaisis en décrochant trois précieux points qui leurs permettent de s’installer à la 3e place. Mais cela, en grande partie, grâce aux nombreux supporters lesquels se sont déplacés en masse à Brakni. Ils étaient plusieurs centaines à encourager les coéquipiers du jeune Oukaci, auteur d’un but somptueux. Mais cinq minutes avant la fin de la partie, ce qui ne devait pas arriver, arriva ! Les fans, trop excités peut-être, ont allumé des fumigènes avant de les jeter sur la pelouse. Un geste condamnable qui n’est pas passé inaperçu puisque le directeur du jeu a tout mentionné sur la feuille du match. Hier, en début d’après-midi, une source proche de la direction nous a fait savoir que la commission de discipline n’avait pas accordé une autre chance à la JSK en lui infligent une sanction d’un match à huis clos. Autrement dit, la rencontre JSK-PAC se déroulera sans la présence des supporters, ce qui va certainement inquiéter les membres du staff technique lesquels comptent énormément sur l’apport du public.
L’inconscience de certains supporters     
En ce début de saison, la JSK voulait gagner le maximum de points pour éviter le scénario de l’exercice précédent et se mettre tôt à l’abri. La victoire à Blida a fait beaucoup de bien aux joueurs lesquels ne jurent que par la confirmation face au PAC. Malheureusement, la partie se déroulera à huis clos et ce, à cause de l’inconscience de certains «pseudos» supporters, qui au lieu de rester aux côtés de l’équipe dans ces moments difficiles, trouvent le moyen de la pénaliser.
L’équipe avait été mise en garde face à la JSS
L’avertissement écopé face à Blida n’est pas le premier. En effet, la commission de discipline avait mis en garde la JSK après les incidents qui ont émaillé la rencontre face à la JSS. L’équipe a écopé d’une mise en garde suivie d’une amande de 100 000 dinars. La formation kabyle est une récidiviste et il était impossible pour la commission de fermer les yeux.
 

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