finale : Kacem : «Après 2010 et 2014, je veux cette 3e coupe !»

Mehdi Kacem disputera sa cinquième finale de Coupe d’Algérie, ce qui est exceptionnel. Ayant déjà remporté Dame coupe en 2010 avec l’ESS et une autre avec le Doyen en 2014, sans oublier les deux échecs de 2013 et 2015, le Franco-Algérien est bien déterminé à brandir ce trophée au centre de toutes les convoitises. «C’est toujours particulier de jouer une finale. Ce sera la cinquième dans ma carrière et ma quatrième de suite. J’ai eu la chance de gagner en 2010 la coupe avec l’Entente et en 2014 avec le Mouloudia. C’est sûr que je veux cette troisième coupe qui aura un parfum particulier. On n’a pas envie de décevoir les millions de Chnaoua qui veulent nous voir brandir ce trophée. A nous de faire le nécessaire pour que cette finale tourne en notre faveur.»    
« Au 5-Juillet, avec l’appui des Chnaoua, on n’a pas le droit de laisser filer le trophée»
Kacem sait que l’appui des supporters du club aura une importance capitale. D’ailleurs, le milieu relayeur espère réaliser le match parfait pour permettre à son équipe de s’imposer. «Au stade du 5-Juillet, avec l’appui des Chnaoua, on n’a surtout pas le droit de laisser filer ce trophée car c’est la seule manière pour sauver notre saison.»
«Il n’y a que la victoire qui pourrait effacer les stigmates de 2013»
Faisant partie de cette fameuse équipe battue par l’USMA en 2013, Kacem a toujours en travers de la gorge ce premier revers dans l’histoire du club. Et pour effacer des mémoires cet échec, Mehdi estime que la victoire reste la seule issue pour les Mouloudéens. «Nous qui étions en 2013, nous avons toujours en travers de la gorge cette défaite en finale face à l’USMA. Alors moi je dis qu’il n’y a que la victoire qui pourrait effacer les stigmates de 2013», nous a déclaré Kacem.  
«Zeddam, Ouali et Ghazi sont comme des frères, mais sur le terrain, je ne leur ferai aucun cadeau !»
«Il y aura face à nous des joueurs qui ont remporté la coupe en 2014 et d’autres comme Zeddam, qui était avec moi au RCA. C’est sûr que Zeddam, Ghazi et Ouali sont comme mes frères, mais sur le terrain pas de cadeau !», a-t-il conclu.  
 

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