CSC-ASO ( Aujourd’hui à 17h ) : Le CSC face à son destin et les joueurs ne jurent que par la victoire

Il ne reste que quelques heures aux poulains de François Bracci avant de fouler la pelouse du stade Hamlaoui et affronter l’ASO Chlef dans un match explosif dans lequel la moindre erreur est interdite. L’avenir du club dépend du résultat final de cette confrontation décisive pour les deux équipes. Une victoire est indispensable dans la mesure où les partenaires de Boucherit évoluent à domicile et devant leur public. Dans ce contexte de rencontre sous haute tension, et hormis le fait que les joueurs étaient très déçus de n’avoir pas obtenu leur prime, ils sont tous d’accord pour obtenir les trois points et ne jurent que par la victoire.
Bracci veut surprendre l’adversaire dès le début et se méfie des dernières minutes…
L’entraîneur des Vert et Noir, qui, selon ses dires, a bien préparé le match et a étudié son adversaire pour ce qui concerne les points forts et faibles, veut mettre à exécution un plan qui sera capable de déstabiliser l’adversaire et le surprendre dès la première mi-temps. Le meilleur des scénarios est que son équipe le CSC atteigne la pause avec un avantage à la marque, ce qui donnera un ascendant psychologique à ses joueurs avant l’entame de la seconde période. L’idéal pour le coach et son équipe, est de prendre un avantage supérieur à deux buts afin de prévenir toute déconvenue de dernière minute qui fait peur au coach. L’entraîneur des Vert et Noir compte sur ses joueurs pour appliquer ses consignes sur le terrain, qui devront, selon lui, rester très concentrés et surtout vigilants en fin de partie.
Et met en garde ses joueurs contre toute forme d’excès
Le coach clubiste sait qu’il va affronter une équipe qui revient fort cette semaine, et qui n’est qu’a un point de retard sur le CSC. Le match sera difficile, d’autant plus que la pression sera énorme sur les camarades de Boulemdais. Bracci parle beaucoup avec ses joueurs et s’attelle à les mettre en confiance et en garde contre toute forme d’excès. Les joueurs savent gérer cette pression et ont l’habitude de la vivre et, dès qu’ils seront cet après-midi sur le terrain, elle se dissipera au fil des minutes.
 

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