Le choix du stage à Doha

 «Pourquoi le  stage au Qatar ? Pour moi, c’était incontournable, programmer ce stage au Qatar ou dans un pays limitrophe était essentiel pour plusieurs raisons. D’abord, il y a la raison principale qui est d’ordre climatique. A Doha, on est au jour d’aujourd’hui à 40 degrés. C’est pratiquement la même température qu’on peut trouver aussi au Caire en Egypte. »

«En termes de conditions climatiques et d’infrastructures, c’est l’endroit idéal»  
«C’était aussi possible de rester et travailler ici en Algérie car on dispose de bonnes infrastructures ici à Sidi Moussa mais il faut savoir qu’on doit s’entrainer le soir à l’heure du match du Kenya, donc on doit mettre les pulls et peut être même des collants pour certains car comme vous le constatez, il fait froid. Donc on devait se préparer dans des conditions climatiques complètement différentes et ça aurait été aussi un choc par rapport à ce qui nous attend en Egypte. Le Qatar est donc en termes de conditions de jeu le mieux indiqué pour se préparer, je parle bien entendu de la température et de la température à l’heure des matchs. Il me parait évident donc d’accorder à mes joueurs, qui évoluent pour la plupart dans des championnats européens un temps d’adaptation avant la CAN.»

«C’est un stage qui est taillé sur mesure»
« Je veux remercier donc la Fédération algérienne et son homologue qatarie pour m’avoir accordé cette opportunité d’organiser ce stage au Qatar avec les recommandations que je souhaitais. Ce n’était pas évident aussi de pouvoir disposer d’adversaires que l’on veut aux dates à la date que l’on veut et à l’endroit que l’on veut. Après pour parler des infrastructures, je crois que tout le monde le sait, on va disposer des installations exceptionnelles et jouer dans un stage magnifique celui d’Al Sadd. Après, voyager directement de Doha au Caire est parfait pour moi. C’est un stage qui est taillé sur mesure. »