Auteur :
S. D.
mardi 03 octobre 2017 22:55
Comme d’habitude, l’ancien international algérien, Moussa Saïb, actuellement consultant à Berbère télévision, analyse d’une semaine à une autre, le parcours de la JSK en championnat. Il parle aussi des nouveautés, notamment au niveau de la direction et les missions qui attendent le nouveau président, Hamid Sadmi. D’ailleurs, selon lui, le nouveau boss du club aura besoin d’au moins six mois, pour pouvoir redresser la barre car actuellement, il ne pourra pas faire grand-chose, du moment qu’il est en train de régler plusieurs affaires, entre autres celles relatives aux nouveaux sponsors. A ce sujet, il dira : «Tout le monde sait que Sadmi ne pourra pas tout régler en un un clic. Cela fait 20 jours qu’il a été élu et pour qu’il apporte sa touche, il lui faudra du temps. A mon avis, personne ne pourra lui demander des comptes avant six mois.»
«Actuellement, les résultats sont plus importants»
Selon Saïb, le plus important en cette période sont les résultats : «Si l’équipe souhaite aller plus loin dans ses projets, elle devrait d’abord réaliser de très bons résultats. Seuls les victoires apportent de la stabilité. Donc, les dirigeants devraient se focaliser là-dessus car c’est vraiment très important.»
«Si j’étais président, j’aurai donné de l’âme à cette équipe»
Apparemment, l’ancien joueur de l’AJ Auxerre avait une autre méthode pour gérer le club s’il s’est retrouvé à la place de Sadmi : «Si j’étais président, j’aurai donné de l’âme à cette équipe. La JSK est un symbole, elle doit retrouver son lustre d’antan, avant de passer à autre chose. C’est ce qu’attendent les supporters.»
«Si les Italiens ne viendront pas, la direction doit avoir un plan B»
Evoquant le projet des Italiens qui pour le moment n’a pas abouti, Saïb ajoute : «On dit que tout a été réglé mais nous n’avons rien vu encore. J’espère que la direction tient un plan B au cas où les Italiens ne viendraient pas.»
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Hamid Sadmi